Sanctions administratives Communales

La loi Milquet du 24 juin 2013 entre en vigueur le 1er janvier 2014.

Quelle est la position de la Ville concernant la possibilité d’infliger des amendes administratives aux mineurs dès 14 ans ?

Plan stratégique transversal de la Ville de Fleurus

Lors de la présentation de la déclaration de politique générale le 25 février 2013, le Collège annonçait que « cette déclaration ne pourra trouver sa plénitude sans son pendant au travers des plans d’actions à établir par notre Administration communale, et qui lui donnera toute sa consistance. ».

Le Collège s’était engagé à présenter ce plan dans les six mois.

En septembre, le Collège s’est engagé à le présenter en décembre. Un an après la mise en place du Collège, la Ville dispose d’un plan de gestion annuel mais toujours pas de vision stratégique : quelle est votre prochaine échéance ?

Suivi de la motion relative aux invendus alimentaires

Proposition d’ajout d’un point à l’ordre du jour à la réunion conjointe du Conseil communal et du conseil de l’action sociale.

En sa séance du 25 mars 2013, le Conseil Communal votait à l’unanimité la motion relative aux invendus alimentaires.

Il était décidé de demander aux services communaux (et/ou du CPAS) de réaliser une enquête de la situation sur le terrain communal permettant d’identifier :

  • le sort réservé aux invendus encore consommables par magasins d’alimentation, les grandes et moyennes surfaces et les entreprises agroalimentaires de l’entité ;
  • les besoins des banques alimentaires et des entreprises d’économie sociale qui reconditionnent les produits ;
  • le sort des fruits et légumes trop détériorés pour être consommés ;
  • en fonction des résultats obtenus, d’identifier des pistes de solutions concrètes et réalistes pour améliorer la situation.

En cette veille d’hiver, moment de l’année qui révèle plus durement les inégalités et réveille aussi les solidarités, le Collège peut-il nous renseigner sur l’état d’avancement de ce dossier ?

2. Mobilité

Nous avons été interpellés à plusieurs reprises par des riverains pour des problèmes quotidiens de mobilité et de sécurité des usagers faibles.

  • Rue des Trieux à Saint-Amand : trop de véhicules empruntent cette voie à une vitesse excessive, alors que la rue est étroite et la visibilité réduite ; les riverains ont demandé par pétition de mettre cette voie en circulation locale ;
  • Rue Joseph Lefebvre à Fleurus : placement d’un passage pour piétons au coin de la rue Bonsecours et aménagement des parkings de long de la voirie afin de faciliter la visibilité des véhicules qui descendent vers Wanfercée-Baulet ;
  • Chemin de Mons à Fleurus : placement d’un passage pour piétons en face de la rue de l’Observatoire pour permettre aux élèves du CEFA et de Notre-Dame de traverser vers le seul trottoir qui n’est pas occupé par des voitures stationnées ; la zone trente pourrait également être étendue à tout le quartier scolaire rue de l’Observatoire, Chemin de Mons, rue de Bruxelles.
  • Rue Poète-Folie à Fleurus : installation de dispositifs afin de limiter fortement la vitesse « possible », comme c’est souvent le cas pour les chaussées à sens unique, larges et sans obstacle.

Nous sommes bien évidemment à l’écoute de toute proposition plus adaptée du moment que l’objectif attendu par l’usager ou le riverain soit rencontré.

Funérailles non confessionnelles

Une proposition de résolution «visant à encourager les communes à identifier des lieux publics permettant d’organiser des funérailles non confessionnelles ou laïques» a été déposée au Parlement wallon à l’initiative d’ECOLO et cosignée par les autres partis démocratiques.

En cas de décès, les familles qui souhaitent organiser une cérémonie en dehors d’un cadre religieux éprouvent souvent des difficultés à la mettre en pratique, soit parce que le lieu est mal adapté, trop exigu, trop coûteux ou peu propice au recueillement.

Par exemple, la ville de Namur dispose d’une « salle des funérailles », un lieu de recueillement multiconvictionnel dans un ancien bâtiment communal. La gestion en est confiée à la Maison de la laïcité et au Centre d’action laïque et l’occupation est gratuite.

Le Collège compte-t-il dédier rapidement un espace public sur l’entité de Fleurus à l’organisation de funérailles non confessionnelles et sous quel type de gestion ?